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L’application qui analyse la data des restaurateurs.
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Dvore

Emilie Deville

27 Nov
9 Min read

7 erreurs d’analyse de données qui coûtent cher aux restaurateurs

novembre 27, 2025 Emilie Deville Conseil 0 commentaire

Dans la restauration, chaque décision compte. Mais pour être rentable, encore faut-il se baser sur des données fiables et bien interprétées. Or, beaucoup commettent des erreurs d’analyse sans même s’en rendre compte. Résultat : des choix stratégiques biaisés et des pertes financières évitables. L’analyse de données doit être un outil de pilotage, et non une source de confusion. Découvrez les erreurs d’analyse les plus coûteuses pour les restaurateurs. Et surtout, comment les éviter pour tirer le meilleur parti de vos chiffres.

Erreur n°1 : négliger la planification budgétaire

Sans budget, vos chiffres n’ont pas de boussole. Difficile de savoir si vous tenez le cap. Vous ne comparez pas vos prévisions aux résultats réels. Vous détectez les écarts trop tard. La trésorerie en souffre. Les décisions aussi.

Un budget simple suffit. Il fixe un cadre. Il donne une vision claire des charges, des ventes et des marges. Il permet d’anticiper les pics, les creux et les besoins en cash.

💡 Comment bâtir un budget solide ?

  • Établir un budget réaliste. Appuyez-vous sur les historiques de données et vos prévisions.
  • Décliner par postes : ventes, coûts matières, masse salariale, loyers, énergie, marketing, etc..
  • Suivre mensuellement. Comparez le budget prévu et le réalisé, analysez cet écart et déterminez-en la cause.
  • Ajuster rapidement votre prévisionnel. Recalibrez les achats, les effectifs et/ou. les prix si la réalité s’éloigne du plan.
  • Mettre en place des seuils d’alerte. Par exemple, si le coût matières dépasse de 2 points par rapport à votre budget.
  • Documenter. Gardez une trace des décisions et des impacts pour améliorer le budget suivant.

Privilégiez la simplicité : un tableau clair, des hypothèses explicites, un rituel de revue chaque mois. C’est ce qui transformera vos données en décisions utiles.

Erreur n°2 : ne pas suivre les bons KPIs

Il est impossible de piloter un restaurant sans indicateurs fiables. Pourtant, beaucoup se contentent de regarder le chiffre d’affaires (CA). C’est une erreur majeure. Sans suivi des bons indicateurs clés (KPIs), vous ne pourrez pas savoir si votre activité est vraiment rentable.

Si les données ne sont pas exploitées, vous pouvez passer à côté d’un coût matière qui s’envole, d’une marge qui réduit ou d’un taux de rotation des stocks trop lent. À long terme, ces oublis entraînent des pertes financières significatives.

💡 Comment garder un œil sur les bons chiffres ?

  • Définir les bons indicateurs, comme le coût des matières premières, la marge brute, le taux de rotation des stocks, le ticket moyen et le taux d’occupation.
  • Analyser régulièrement. Comparez vos résultats semaine après semaine ou mois après mois.
  • Visualiser vos données. Utilisez un tableau de bord simple et lisible pour repérer rapidement les écarts.
  • Agir rapidement. Si un indicateur dévie, prenez des mesures correctives (ajustement du menu, renégociation avec les fournisseurs, réduction du gaspillage, etc.).

👉 Pour aller plus loin, consultez notre article sur les datas clés pour piloter son restaurant.

Erreur n°3 : sous-estimer ses coûts

Beaucoup de restaurateurs pensent connaître leurs coûts. En réalité, ils oublient souvent d’intégrer certaines charges. Résultat : une marge surestimée et des décisions faussées.

Les coûts ne se limitent pas aux matières premières. Il faut aussi compter les taxes, les charges fixes (loyer, électricité, entretien, etc.) et les charges variables (livraison, emballage, personnel, etc.). Oublier un seul poste peut suffire à mettre votre rentabilité en danger.

Prenons un exemple simple : un plat de spaghettis à l’arrabiata vendu 11 euros TTC (toutes taxes comprises). Le coût d’achat des 1,5 euro. En apparence, la marge brute semble confortable. Mais si l’on retire la TVA et les charges, la rentabilité réelle est différente.

💡 Comment cuisiner la rentabilité sans mauvaise surprise ?

  • Lister tous les postes de dépenses. Ne négligez aucune charge, même minime.
  • Mettre à jour régulièrement vos coûts. Par exemple, les prix fournisseurs peuvent souvent évoluer.
  • Calculer la marge réelle. Basez-vous sur le prix de vente HT (hors taxes) et intégrez toutes les charges.
  • Surveiller votre marge brute. Un restaurant en bonne santé financière affiche en général une marge supérieure à 70%.

Erreur n°4 : ignorer le coût des matières premières

Les matières premières représentent l’un des plus gros postes de dépense d’un restaurant. Ne pas suivre leur coût, c’est risquer de perdre le contrôle de votre marge.

Un changement de fournisseur, une hausse de prix sur un produit clé, une portion un peu trop généreuse… Ces détails, multipliés par le volume d’un service ou d’un mois, finissent par peser lourd dans vos comptes.

Sans un suivi précis, il devient impossible d’ajuster vos prix de vente, d’anticiper les dérives ou d’identifier les sources de perte.

Les restaurateurs les plus performants ne se contentent pas de suivre leurs coûts matières : ils les maîtrisent. Ils savent quels plats sont les plus rentables, quels produits pèsent trop lourd et repèrent vite les écarts pour agir avant que les marges ne s’effritent.

👉 Pour aller plus loin, consultez notre article sur les 6 erreurs de gestion de stocks qui impactent la rentabilité de votre restaurant.

💡 Comment piloter vos coûts matière comme un chef ?

  • Mettre en place un suivi précis. Notez les coûts d’achat de chaque matière première.
  • Comparer régulièrement les prix d’achat et prix de vente. Ajustez vos tarifs si besoin.
  • Anticiper les variations de prix, notamment sur les produits frais ou saisonniers.
  • Utiliser un outil de gestion (comme l’app Dvore) pour vous aider à suivre vos coûts et à piloter vos marges en temps réel.

Erreur n°5 : ne pas analyser les ventes en détail

Connaître son CA ne suffit pas. Ce qui compte, c’est de comprendre ce qui se vend vraiment (ou pas). Sans analyse, vous risquez de garder des plats peu rentables à la carte ou de manquer d’opportunités sur ceux qui cartonnent.

Une analyse précise des ventes révèle souvent des surprises : un plat à faible marge mais très populaire ou, au contraire, un plat rentable mais rarement commandé. Ces informations sont précieuses pour ajuster votre offre et maximiser votre rentabilité.

💡 Comment tirer le meilleur parti de vos ventes ?

  • Analyser les ventes régulièrement, par jour, par semaine, par période.
  • Identifier les plats plus rentables et ceux qui le sont moins.
  • Adapter votre menu. Supprimez les plats qui ne se vendent pas et valorisez les best-sellers.
  • Croiser les données. Combinez l’analyse des ventes avec les coûts matières pour une vision complète.

Erreur n°6 : ignorer les variations saisonnières

Les ventes d’un restaurant ne sont jamais linéaires. Elles varient selon la saison, la météo, les jours fériés ou les événements locaux. Ne pas en tenir compte, c’est risquer d’avoir trop de personnel en période creuse… Ou pas assez en pleine affluence.

Les variations saisonnières influencent aussi la disponibilité et le prix des matières premières. En ignorant ces tendances, vous vous exposez à des ruptures de stocks, des achats trop chers ou une trésorerie déséquilibrée.

💡 Comment transformer la saisonnalité en atout stratégique ?

  • Analyser les historiques de ventes. Repérez les périodes fortes et faibles.
  • Adapter vos commandes et votre personnel, en fonction des saisons et des prévisions.
  • Ajuster votre offre. Mettez en avant les produits de saison, plus rentables et plus attractifs.
  • Planifier à l’avance. Préparez vos achats et vos menus plusieurs semaines avant les pics d’activité.

Erreur n°7 : ne pas utiliser de logiciel de gestion

La gestion manuelle, c’est le meilleur moyen de se tromper. Les erreurs de saisie, les oublis et les doubles calculs faussent vos données. Vous perdez du temps et de l’argent.

Un logiciel de gestion centralise toutes vos données : ventes, stocks, coûts, marges, prévisions, etc… Il simplifie l’analyse et vous fait gagner en prévision. Vous savez où vous en êtes, en temps réel.

C’est aussi un gain de sérénité. Moins de tableurs, plus de clarté. Et surtout, des décisions basées sur des données fiables.

💡 Comment passer du tableau Excel à la gestion éclairée ?

  • Automatiser la collecte et l’analyse des données pour éviter la saisie manuelle et les erreurs.
  • Former vos équipes à son utilisation. Un bon outil n’est utile que s’il est bien utilisé.
  • Choisir une solution complète (comme Dvore 😉). Vous centralisez vos chiffres et facilitez le pilotage de votre établissement.

 

L’analyse de données ne se résume pas à des chiffres : c’est un véritable levier stratégique pour booster la performance de votre restaurant. En évitant ces erreurs, vous gagnez en précision, en rentabilité et en sérénité. Avec Dvore, vous disposez d’une application pensée pour prévenir les erreurs d’analyse coûteuses et transformer vos données en décisions gagnantes.

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29 Oct
7 Min read

Dvore : comment commercialiser un outil SaaS dans un secteur en crise permanente

octobre 29, 2025 Emilie Deville Interview 0 commentaire

Depuis le lancement de Dvore, nous accompagnons les restaurateurs dans toutes les phases de leur activité. Croissance, adaptation, et parfois survie. Ces dernières années, le secteur a connu une succession de tempêtes : crise sanitaire, inflation, pénurie de personnel, incertitude politique. Pourtant, nous restons convaincus d’une chose : c’est dans les périodes les plus complexes que la donnée devient essentielle. Comprendre, piloter, ajuster. C’est ce qui permet de traverser les crises sans perdre de vue la performance.

Richard Barone, fondateur de Dvore, nous partage son regard sur ce secteur en crise permanente et sur sa manière de continuer à avancer malgré tout 👇🏼

20 ans dans la restauration : un secteur en pleine évolution

J’ai commencé ma carrière dans la restauration en 1995. À l’époque, j’étais attiré par la convivialité, le contact humain et l’énergie des services. Très vite, j’ai découvert une autre facette du métier : des journées interminables, une hiérarchie rigide et une reconnaissance souvent absente. On travaillait dur, sans toujours avoir la valorisation qu’on méritait. À un moment, je me suis vraiment demandé si je voulais faire toute ma vie dans ces conditions.

Depuis, le secteur a profondément évolué. La pénurie de personnel a obligé les établissements à revoir leur organisation et leur management. Les dirigeants ont compris qu’un collaborateur bien traité est un collaborateur fidèle et engagé.

Dans le même temps, les concepts se sont renouvelés : la bistronomie, le fast casual, ou encore la restauration à thèmeont redonné de la créativité et du sens au métier. L’expérience client est devenue un pilier central, autant que la qualité de l’assiette.

Le profil des acteurs du secteur a aussi bien changé. On voit désormais des diplômés d’écoles de commerce se lancer dans la restauration avec une vision davantage centrée sur le business.

Et puis, un tournant majeur a eu lieu : la digitalisation. Aujourd’hui, la restauration s’équipe, se structure et s’appuie sur la data pour piloter son activité. Les enseignes veulent comprendre leurs chiffres, automatiser leurs reportings, anticiper leurs performances. Le digital n’est plus un luxe, c’est devenu un outil de survie.

Grandir malgré les crises : les débuts de Dvore

Nous avons lancé Dvore en mai 2019, portés par une conviction simple : la data pouvait devenir un véritable levier de performance pour les restaurateurs.

Ce qu’on n’avait pas prévu, c’est qu’à peine dix mois plus tard, tout s’arrêterait net.

Mars 2020. La France se confine, les restaurants baissent le rideau. De notre côté, c’est dix clients, un salon annulé et des supports de communication devenus inutiles du jour au lendemain. Plutôt que de tout mettre en pause, on décide d’agir : pas de facturation pour nos clients, et un seul objectif : les aider à traverser la tempête. On développe alors en urgence des tableaux de bord dédiés aux livraisons, aux aides de l’État et au suivi de leur activité en période de crise.

La pandémie, on l’a traversée. Et les suivantes aussi. Chacune a ralenti les projets, mais elles ont toutes eu un effet positif : elles ont fait évoluer les mentalités. Les restaurateurs ont compris qu’en période d’incertitude, piloter sans données, c’est naviguer à l’aveugle.

Même face à l’inflation, quand beaucoup ont dû couper dans leurs dépenses, un constat s’est imposé : une mauvaise décision coûte souvent plus cher qu’un bon outil.

Alors malgré tout, Dvore a connu une croissance solide. Notre solution s’est imposée comme un levier de pilotage, même dans un marché instable.

2025 : un marché fragilisé, mais toujours debout

En 2025, le décor a changé. Les restaurateurs ne cherchent plus à se réinventer, ils cherchent surtout à tenir bon. Après des années de montagnes russes, le mot d’ordre, c’est la survie. Entre le remboursement des PGE, la baisse de fréquentation et la hausse continue des coûts, la pression est à son comble.

Ce que j’entends le plus souvent, c’est la lassitude. La fatigue d’avoir tout donné pendant la crise, d’avoir tenu malgré tout et de devoir encore composer avec un environnement incertain. Quand la salle se vide, le moral aussi. Et derrière chaque décision reportée, il y a surtout une inquiétude très humaine : celle de ne pas savoir où va le marché.

Les restaurateurs ne manquent ni d’idées ni de volonté. Ce qui manque aujourd’hui, ce sont les moyens, la confiance, la visibilité. Beaucoup choisissent d’attendre avant d’investir. Pourtant, c’est justement dans ces périodes de flou que la donnée peut redonner du contrôle : comprendre ce qui se passe, ajuster rapidement, anticiper plutôt que subir.

Le secteur reste fragilisé, mais il tient debout. Et malgré tout, il continue d’avancer, avec cette même résilience qui le caractérise depuis toujours.

Convaincre, rassurer, accompagner : notre manière de vendre a changé

Avant, on vendait de la performance. Aujourd’hui, on vend du contrôle. Ce que les restaurateurs veulent, c’est comprendre où part chaque euro. Ils ne cherchent plus seulement à progresser, mais à sécuriser leur modèle, à garder la main sur leur activité malgré la tempête.

Notre discours a évolué avec eux. Au début, on parlait surtout aux contrôleurs de gestion, à ceux qui voulaient automatiser leurs reportings et fiabiliser leurs chiffres. Désormais, on s’adresse aussi aux directions opérationnelles, à ceux qui vivent la data au quotidien. Pour eux, c’est un outil d’animation d’équipe, de pilotage de la productivité, d’ajustement des marges.

Cette évolution s’est faite naturellement, portée par les retours du terrain et les échanges entre pairs. Nos clients deviennent nos meilleurs ambassadeurs, en partageant leur expérience avec d’autres restaurateurs.

🎤 Quand Graffi, fondatrice des Paris New Work, m’a revu récemment, elle m’a dit : “Tout le monde parle de ton outil, c’est génial ! Il faut qu’on prenne un moment pour que tu me montres”. Quelques semaines plus tard, elle m’a confié : “Je m’en sers tous les matins, c’est un bonheur.”

Mais les débuts n’ont pas été simples.

🎤 Je me souviens d’avoir contacté Yves Hecker des Burgers de Papa des dizaines de fois avant d’obtenir un rendez-vous. Après trente minutes de présentation, il m’a dit : “Pourquoi on ne s’est pas rencontré avant ? C’est exactement ce que je cherchais.”

Ces moments confirment qu’on est sur la bonne voie. Ils rappellent qu’avant de vendre un outil, on vend une relation de confiance.

Aujourd’hui, Dvore est connu et reconnu. Les prospects arrivent souvent déjà rassurés. Ce qu’ils attendent, ce n’est pas une démo technique, mais la certitude qu’ils ne seront pas seuls. On leur montre que Dvore, ce n’est pas une plateforme parmi d’autres, mais un partenaire de pilotage. Un outil conçu pour rendre les décisions plus claires, plus rapides, plus sereines.

Malgré la conjoncture, je reste optimiste. Le secteur se transforme, parfois dans la douleur, mais il ne disparaîtra pas. Les Français continueront de sortir, de se retrouver autour d’une table. Et ceux qui auront su structurer leur pilotage sortiront de cette période plus solides, plus lucides, mieux armés pour grandir.

 

Depuis nos débuts, nous avons grandi dans la tempête. Crise après crise, Dvore s’est développé, a évolué et s’est imposé comme un acteur clé de la business intelligence en restauration. Ce n’est pas simple tous les jours, mais nous avons réussi à bâtir une solution de référence dans un secteur qui n’a jamais connu de répit.

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01 Oct
3 Min read

Vers une restauration plus durable : comment la data peut aider à réduire le gaspillage ?

octobre 1, 2025 Emilie Deville Conseil 0 commentaire

En France, plus d’un million de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année dans les restaurants. Ce gaspillage est un enjeu éthique, environnemental et économique. Pour y remédier, la data peut devenir votre meilleure alliée. Voici comment nos partenaires et notre application de BI peuvent vous aider.👇

La gestion intelligente des stocks pour éviter le gaspillage

Une bonne gestion des stocks limite les excédents et les ruptures. Elle permet aussi de mieux anticiper vos besoins et d’ajuster vos commandes.

Grâce aux données en temps réel accessibles depuis vos logiciels de gestion, vous pouvez par exemple :

👉 Recevoir des alertes pour les produits proches de la péremption.

👉 Analyser des facteurs externes, comme la météo, les tendances de consommation selon les jours de la semaine, les habitudes des clients, etc.

👉 Suivre vos niveaux de stock et planifier plus efficacement.

Résultat : vous achetez mieux, vous jetez moins.

💡 À lire aussi : Gestion des stocks : les 5 erreurs qui impactent la rentabilité de votre restaurant

Voici quelqu’un de nos partenaires qui vous permettent de gérer vos stocks :

◾️ Yokitup

◾️ Inpulse

◾️ My Cawan

◾️ Adoria

◾️ Easilys Mapal

L’analyse des déchets alimentaires pour mieux planifier

Les balances connectées permettent de suivre les déchets alimentaires. Elles identifient les plats les plus jetés et les erreurs de planification.

Ces données sont donc précieuses pour réduire le gaspillage. Elles vous permettent d’ajuster vos recettes, revoir les portions ou repenser la composition des menus.

📎 Par exemple, l’outil Winnow qui est une IA spécialisée en déchets alimentaires, permet de réduire jusqu’à 50% des déchets en cuisine.

Des économies importantes non-négligeables pour les restaurants. 💸

La valorisation des invendus

Chaque jour, certains produits restent invendus. Plutôt que de les jeter, pourquoi ne pas les valoriser ?

Vous pouvez par exemple les proposer à prix réduit en fin de journée. Résultat : vous limitez le gaspillage, tout en augmentant votre rentabilité. Des plateformes comme Too Good To Go facilitent cette démarche.

Il est aussi possible de redistribuer vos invendus. À vos équipes, à des associations ou même à des clients fidèles.

L’optimisation de vos menus

Votre carte aussi peut être repensée grâce à la data. L’analyse des données peut vous aider à :

👉 Identifier les plats préférés de vos clients.

👉 Repérer les plats les plus souvent en pertes.

👉 Supprimer les recettes peu rentables et peu demandés.

Résultat : vous ajustez votre offre avec une carte plus efficace, des stocks optimisés et des clients satisfaits. Le tout en maximisant la rentabilité de votre carte et de vos menus grâce à une vision claire et détaillée des performances de vos produits.

 

Réduire le gaspillage, ce n’est pas seulement bon pour la planète (même si c’est le point le plus important) : c’est aussi bon pour votre rentabilité. Grâce à la data, vous améliorez votre efficacité, anticipez mieux vos besoins et engagez vos équipes dans une démarche responsable. Avec Dvore, vous accédez à une application qui vous permet d’agir concrètement pour réduire le gaspillage.

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27 Août
7 Min read

Old Wild West : comment importer un food concept italien en France ?

août 27, 2025 Emilie Deville Interview 0 commentaire

Importer un concept de restauration thématique d’un pays à l’autre représente un défi de taille. Pourtant, Old Wild West a relevé ce pari avec succès en France ! Cette enseigne italienne inspirée du Far West a su séduire avec ses burgers savoureux et son ambiance immersive. Retour sur les clés de réussite d’un concept audacieux qui s’est imposé sur l’Hexagone.

Old Wild West : un concept qui existe depuis plus de 20 ans

Créé en 2002 par Marco Di Guisto au sein du groupe italien Cigierre, Old Wild West a révolutionné le marché italien de la restauration.

L’enseigne s’est démarquée par son concept immersif inspiré du Far West, à une époque où la restauration thématique était quasi inexistante.

Avec ses burgers et son ambiance évoquant le rêve américain, elle a su conquérir le cœur des Italiens, devenant une véritable destination culinaire. 🍔

Aujourd’hui, l’enseigne compte 260 restaurants en Europe, situés principalement en Italie. Elle continue de séduire grâce à son expérience unique mêlant gastronomie et univers thématique.

Comment l’enseigne italienne a réussi à s’imposer en France ?

Les différences entre les marchés italien et français

Si Old Wild West a su séduire le public italien, s’imposer en France nécessitait une adaptation stratégique.

Les différences entre les deux marchés sont notables :

  • La concurrence est plus forte en France. Il existe davantage d’enseignes de restauration thématiques dans l’Hexagone.
  • Les habitudes de consommation sont différentes. En France, les clients passent plus de temps à table et consomment davantage de double burgers, de cocktails, de vin et de desserts. À l’inverse, la bière est la boisson phare en Italie.
  • La stratégie d’approvisionnement diffère également. L’Italie privilégie l’Europe pour l’origine de sa viande, alors que la France mise sur un approvisionnement local.
  • Certaines recettes sont adaptées car la typologie des produits est différente. Certains plats emblématiques en Italie ne sont pas proposés en France, et à l’inverse, des créations spécifiques, comme le French Burger, enrichissent nos cartes.

Ces ajustements ont permis à Old Wild West de répondre aux attentes des consommateurs français tout en préservant l’essence de son concept.

 

Retour sur l’implantation de l’enseigne en France

L’arrivée de Old Wild West en France a débuté en 2016 avec une première ouverture à Toulon. La raison ? Son emplacement stratégique à proximité de la frontière italienne.

Entre 2016 et 2018, l’enseigne a ouvert 3 restaurants. Puis, elle a racheté Rangshow, une chaîne français de Tex-Mex, ajoutant 8 nouveaux points de vente dans les grandes villes.

Aujourd’hui, Old Wild West compte 19 restaurants, implantés dans des villes stratégiques, comme Paris, Lille, Strasbourg ou Saint-Étienne. Mais également 3 autres points de vente en Suisse et à Monaco !

Une attention particulière est portée à l’emplacement des points de vente. Les centres commerciaux et les zones de loisirs sont privilégiés pour atteindre une clientèle familiale.

Cette stratégie d’expansion mesurée a permis à l’enseigne de s’installer durablement dans le paysage culinaire français.

 

L’évolution du concept au fil du temps

Le premier restaurant de l’enseigne poussait déjà le concept du rêve américain et les curseurs à son maximum.

Entre baby-foot et mini-bowling dans un espace de 600 m², l’objectif était de créer des lieux où les clients faisaient plus que manger !

Le décor immersif et très connoté est difficile à modifier. Mais Old Wild West n’a cessé de se renouveler pour rester en phase avec les attentes de sa clientèle.

💡  Exemple

Les derniers points de vente français ont été ouverts avec de nouveaux designs. Les assises et la décoration murales ont été retravaillées pour éclaircir le lieu et le rendre plus convivial, tout en gardant son ADN fort.

Le rôle de Dvore dans le succès d’Old Wild West

Pour un réseau de restaurants comme Old Wild West, gérer efficacement les performances opérationnelles et stratégiques repose sur l’exploitation optimale des données. C’est pourquoi, il y a deux ans, l’enseigne a adopté Dvore en France. Une décision à la fois opportune et nécessaire.

 

Un besoin urgent d’optimisation des données

Avant l’intégration de Dvore, la gestion des données en France s’appuyait sur une base commune avec l’Italie. Deux options s’offraient alors à l’enseigne :

1️⃣ Développer un outil de BI dédié au marché français.

2️⃣ Tester des solutions existantes.

C’est (évidemment 😉) la seconde option qui a été retenue, avec l’objectif de répondre à un besoin pressant : centraliser et automatiser la gestion des données.

En effet, tous les collaborateurs avaient besoin d’accéder aux mêmes données, en temps réel et centralisées sur une même plateforme. Et ce, pour analyser et passer à l’action rapidement.

 

Une gestion data-driven pour des actions rapides

Dvore est devenu un véritable pivot dans la gestion des performances. Elle offre :

  • Une visibilité instantanée. L’intégralité des équipes disposent désormais d’une vue en temps réel sur les indicateurs clés, permettant une prise de décision rapide.
  • Des analyses prédictives. L’outil intègre des éléments tels que les effets calendaires (par exemple, les changements de zones de vacances) et des données météo, cruciales pour la restauration, afin d’affiner les prévisions.
  • Une plateforme complète. Dvore propose des reportings synthétisés, mais également des visions détailles de chaque curseur pour une analyse plus précise.

💭 Entendu par Pierre Toutel, Directeur de la filiale française d’Old Wild West : je consulte Dvore tous les jours pour suivre les performances du réseau. Cette application est devenu indispensable pour comprendre les dynamiques et réagir rapidement.

 

Vers une gestion encore plus performante

L’outil est déjà largement utilisé pour le reporting hebdomadaire et les analyses stratégiques. Mais des fonctionnalités sont encore en cours de déploiement. On pense notamment au suivi des challenges ou à la gestion des objectifs à long terme.

Les perspectives sont prometteuses, avec une ambition claire : exploiter pleinement la puissance de Dvore pour garantir un pilotage ultra-réactif.

 

En s’adaptant habilement aux spécificités du marché français, Old Wild West a réussi à importer avec succès un concept unique pensé en Italie. Sur les 5 prochaines années, l’objectif est clair : constituer une tête de réseau solide, tout en augmentant la présence en franchise. Toutefois, cette expansion ne se fera pas au détriment de la qualité.

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30 Juil
3 Min read

Automatiser ses reportings : un gain de temps et de précision pour les restaurateurs

juillet 30, 2025 Emilie Deville Conseil 0 commentaire

Stocks, équipes, envoi des commandes… Les restaurateurs n’ont pas une minute à perdre. Et pourtant, après le rush du service, il faut encore gérer les chiffres. Résultat ? Le reporting devient une corvée et les erreurs s’accumulent. Mais il existe une solution simple et fiable : automatiser les reportings. Un levier puissant pour gagner du temps et fiabiliser vos données. On vous explique pourquoi c’est essentiel, comment ça fonctionne et ce que vous pouvez concrètement y gagner.

Pourquoi les reportings sont essentiels en restauration ?

Dans un restaurant, chaque chiffre compte. Marges, coûts matières, chiffre d’affaires, heures travaillées… Ces données sont clés pour piloter votre activité. 🔢

Pourtant, encore faut-il pouvoir les lire et les exploiter facilement.

Un bon reporting vous permet de :

◾️ Suivre vos performances de vente ;

◾️ Mieux comprendre votre clientèle ;

◾️ Optimiser votre gestion opérationnelle ;

◾️ Analyser la productivité de vos équipes ;

◾️ Assurer la rentabilité.

Bref, le reporting vous aide à prendre les bonnes décisions pour faire grandir votre restaurant.

Mais faire tout cela manuellement est long et risqué. Les données sont souvent dispersées. La saisie manuelle entraîne des erreurs. Et face à une maladresse, vous manquez de réactivité.

La solution ? L’automatisation. 💡

Automatiser ses reportings : comment ça fonctionne ?

Automatiser vos reportings, c’est laisser la technologie faire le travail à votre place.

Concrètement, voici comment ça marche :

☝🏼 Vous connectez vos outils (caisse, gestion des stocks, RH, etc.) à une application de reporting ;

✌🏼 Elle centralise toutes vos données en temps réel ;

🖖🏼 Elle génère automatiquement des rapports personnalisés.

L’objectif ? Gagner en rapidité, en précision et en simplicité. 🎯

Avec Dvore, tout cela devient accessible. Notre application permet de :

  • Connecter vos outils pour automatiser la collecte des données ;
  • Centraliser toutes les informations sur un tableau de bord ;
  • Analyser la data avec de l’intelligence artificielle (IA) ;
  • Créer des rapports visuels et personnalisés selon vos besoins ;
  • Suivre vos KPIs en temps réel.

Les avantages concrets pour les restaurateurs

1️⃣ Gagner du temps

Automatiser vos reportings, c’est avant tout un gain de temps.

Plus besoin de compiler manuellement des données. C’est un réel poids en moins, surtout avec un gros volume d’informations ou des données complexes.

2️⃣ Fiabiliser vos reportings

Laisser la technologie gérer votre paperasse, c’est aussi beaucoup plus fiable.

L’automatisation réduit les erreurs humaines. Vos données sont plus précises, donc plus exploitables.

3️⃣ Suivre vos performances en temps réel

Autre avantage, et pas des moindres : le suivi en temps réel.

Vous pouvez réagir vite en cas de problème et ajuster votre stratégie sans attendre la fin du mois.

4️⃣ Avoir une meilleure visibilité sur vos performances

Les données sont aussi plus lisibles et digestes.

Les reportings automatisés mettent en avant ce qui compte vraiment pour vous. Résultat : une meilleure vision, pour prendre les bonnes décisions.

5️⃣ Améliorer l’accessibilité

Enfin, ces reportings sont accessibles à tous.

Chaque membre de l’équipe peut consulter les informations selon son niveau d’accès.

Cela favorise la collaboration, la transparence et la responsabilisation.

 

Fini les fichiers Excel interminables. Grâce aux reportings automatisés, vous gagnez du temps, améliorez votre précision et pilotez votre activité. Pour ça, Dvore vous aide à gagner en sérénité dans la gestion de votre restaurant.

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23 Juin
6 Min read

Pizza Cosy : pourquoi passer du modèle unique au modèle hybride ?

juin 23, 2025 Emilie Deville Interview 0 commentaire

Pizza Cosy, c’est une pâte maison, des ingrédients de saison et un réseau en pleine expansion. Depuis 2010, l’enseigne a grandi, franchisé et innové. Aujourd’hui, elle change de recette et passe au modèle hybride. Pourquoi ? Pour mieux répondre aux attentes des clients et structurer son développement. Découvrez comment la marque réinvente son concept, sans perdre sa touche artisanale.


De la pizzeria indépendante à un réseau de franchises


L’histoire Pizza Cosy commence en 2010 avec l’ouverture d’un premier restaurant à Terrenoire, près de Saint-Etienne.


Le secret du concept ? Une pâte maison, des recettes de saison, une approche locale et un point d’honneur sur la qualité des produits. 🍕


Mais Pizza Cosy ne se contente pas de garnir des pizzas. Elle fédère une vraie communauté de franchisés. Résultat ? 14 ans plus tard, Pizza Cosy compte 73 points de vente, dont 66 franchises et 7 succursales.


Mais ça ne s’arrête pas là. Chaque année, la marque pétrit son ambition : elle vise 10 à 15 nouvelles ouvertures.


Pour dynamiser son réseau et valoriser son savoir-faire, l’enseigne a plusieurs cordes à son arc. Elle organise par exemple des concours de pizza entre ses franchisés pour élire le meilleur pizzaïolo du réseau. Ça permet de valoriser les talents internes et d’enrichir la carte avec des recettes innovantes. 👨🏼‍🍳


Les franchisés ne sont donc plus de simples exploitants. Ils deviennent de réels acteurs de la marque.


Face à cette belle dynamique, Pizza Cosy a décidé de repenser totalement son modèle et la manière dont elle accompagne ses franchisés.


Le changement vers un modèle hybride


Soutenir la croissance


La forte croissance de l’enseigne appelle une nouvelle organisation.


Pizza Cosy évolue et s’intègre à une holding : Le Grand Feu. Cette structure regroupe plusieurs marques complémentaires :


🍕 Pizza Cosy : la marque historique, avec un pôle développement et un pôle succursales.


🔪 La Fabrique : la cuisine centrale, qui assure une qualité constante.


🤌🏼 Square Pizza Club : une offre BtoB avec une pâte plus épaisse, distribuée dans des lieux de vie.


🐥 PiouPiou : un concept de tenders qualitatifs, testé à Paris et Lyon


🌞 Greekia : un concept de Street Food d’inspiration grecque


Leur objectif ? Devenir un groupe multi-marque, avec des concepts qui cohabitent et se complètent.



💡 Ainsi, un franchisé peut exploiter plusieurs enseignes du groupe.



 


S’adapter aux nouveaux modes de consommation


Jusqu’ici, Pizza Cosy fonctionnait sur un modèle unique. Mais les chiffres parlent d’eux-mêmes :


◼️ 30% de ventes sur place,


◼️ 30% de ventes à emporter,


◼️ 30% en livraison.


Un équilibre certes… Mais un positionnement flou. 🔍


Pizza Cosy souhaite devenir spécialiste, et non plus généraliste.


L’enseigne a donc décidé de trancher ses pizzerias en deux modèles distincts, avec leur propre identité visuelle :


◼️ Le restaurant, avec une expérience améliorée (service à table, spritz à la carte, banquettes et ambiance soignée) et une identité visuelle composée de 70% de vert et 30% de rose.


◼️ Le take away, avec un format permettant une production rapide et optimisée pour la vente à emporter et une identité visuelle de 30% de vert et 70% de rose.


Un choix assumé pour mieux répondre aux attentes des clients.


Un déploiement progressif dans le réseau


Ce nouveau modèle ne s’impose pas du jour au lendemain.


Restaurant ou take away ? La décision sera prise par chaque franchisé en accord avec la tête de réseau selon les performances chiffrées et le contexte local.



💡 2 succursales ont déjà basculé sur le nouveau concept, les autres suivront progressivement. Pour les franchisés, les 3 dernières ouvertures ont eu lieu selon le concept adapté, le parc existant migrera en fonction des contrats et des budgets.



Pizza Cosy veille à ce que la transition soit aussi fluide qu’une bonne pâte à pizza.


Cependant, avec ce double concept, l’accompagnement des franchisés devient essentiel.


L’enseigne a donc renforcé son organisation avec :


◼️ La création de 2 pôles d’animation : l’un pour l’accompagnement des franchisés, l’autre pour la formation.


◼️ L’utilisation de CERCA : un outil dédié, qui adapte la formation selon le modèle.


Dvore et écosystème digital


Pour réussir cette transition, Pizza Cosy mise également beaucoup sur le digital.


L’enseigne a bâti un écosystème solide, capable de centraliser les données du réseau, d’accompagner les équipes terrain et de piloter les performances de chaque point de vente avec précision.


Depuis un an, Pizza Cosy s’appuie sur Dvore pour nettoyer et structurer les données issues de leurs différents outils : caisse, RH, achats, livraison…


Tous les trimestres, Pizza Cosy utilise l’application pour construire une Business Review synthétique mais complète. Les indicateurs clés, les évolutions du chiffre d’affaires, les ratios commerciaux et des axes d’amélioration sont présentés facilement aux équipes.



💡 Ce reporting permet de prendre des décisions stratégiques et aide par exemple les franchisés à choisir entre le modèle restaurant ou take away.



La data est exploitée au quotidien par toutes les équipes :


◼️  Le pôle opération s’en sert pour challenger les performances,


◼️  La DAF compare les chiffres en contrôle de gestion,


◼️  Le marketing mesure l’impact de ses actions,


◼️  Et le développement identifie les opportunités de croissance.


De plus, le module Dvore Restaurant est utilisé par certains franchisés, multi ou non, et apporte des KPI dédiés qui leur permettent de piloter leur(s) restaurant(s) au cas par cas et quasiment en temps réel.



💭 Entendu par Cyril Randon, Chef de projet IT de Pizza Cosy : Dvore a remplacé les Excel chronophages. L’appli permet de challenger nos équipes, d’aider au développement du groupe et est un très bon point de repère pour nos indicateurs commerciaux.



 


Pizza Cosy ne compte pas s’arrêter là ! Son ambition ? 200 points de vente d’ici 2030. Avec son modèle hybride, elle s’adapte aux réalités du marché. L’enseigne garde son ADN, mais change de recette pour mieux grandir. Une évolution réfléchie, qui sent bon l’avenir… Et la pizza fraîchement sortie du four 😉

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23 Mai
5 Min read

Prévoir la demande : comment anticiper les pics d’activité grâce à la data ?

mai 23, 2025 Emilie Deville Conseil 0 commentaire

Gérer un restaurant est complexe. Anticiper les pics d’activité l’est encore plus. Sans préparation, ces périodes peuvent vite se transformer en chaos : ruptures de stocks, désorganisation du personnel, retards et erreurs dans les commandes ou encore mauvaise expérience client. Résultat ? Une perte de chiffre d’affaires et une image dégradée. Prévoir ces périodes de forte affluence garantit donc un service fluide et des ressources optimisées. Bonne nouvelle : la data offre aujourd’hui des solutions efficaces pour anticiper ces moments de rush.

Prévoir les stocks

Gérer les pics d’activité est un défi majeur pour les restaurateurs.

Une hausse de fréquentation mal anticipée peut entraîner des ruptures de stock. Conséquence ? Quand il manque un ingrédient, ce sont des plats que vous ne pouvez plus servir. Des commandes manquées, des clients déçus… et une occasion ratée d’augmenter vos ventes.

Et à l’inverse, prévoir trop large, c’est prendre le risque de jeter. Et le gaspillage, ce sont des pertes nettes pour votre trésorerie. 📉

La clé ? Utiliser la data. Fini l’approximation. Place à l’anticipation basée sur des faits.

Plutôt que de vous fier uniquement à votre expérience, les données permettent de prendre en compte plusieurs variables : la météo des prochains jours, l’historique des ventes passées, les événements locaux (match, festival, vacances scolaires…) ou encore l’état des stocks actuels.

Mais ce n’est pas tout. L’intelligence artificielle (IA) va encore plus loin. En croisant certaines données, elle évalue précisément la demande et les besoins en matières premières au jour le jour.

💡 Avec Dvore, vos données sont centralisées automatiquement dans 1 seul endroit. Vos tableaux de bord présentent les ventes, les achats et les tendances de consommation, pour vous aider à commander juste ce qu’il faut, au bon moment.

Planifier le personnel

L’un des impacts majeurs des pics d’activité concerne également la gestion du personnel.

Vos équipes sont votre premier levier de satisfaction client. Mais pendant les pics d’activité, tout s’accélère.

Un sous-effectif peut entraîner de lourdes conséquences. Services plus longs, erreurs de commande, mauvaise expérience client… Votre rentabilité en prendra un coup.

La data vous aide à adapter vos plannings à la réalité du terrain.

En analysant votre chiffre d’affaires par créneau horaire, par jour ou par type de service, vous ajustez vos effectifs sans surcoût.

Vous pouvez aussi mieux répartir les compétences : prévoir un renfort en salle, une personne en plus à la préparation, ou une caisse supplémentaire.

Résultat ? Vous ajustez vos coûts de personnel tout en assurant un service optimal. 🤌🏼

Gérer les paiements

Le paiement est souvent le dernier point de friction dans l’expérience client. Et en période de rush, les files d’attente à la caisse peuvent vite devenir un problème.

Pour éviter cela, vous devez fluidifier la phase de règlement.

La data vous permet d’identifier les pics horaires de passage en caisse et de prévoir des solutions pour les désengorger.

🙋🏻‍♀️ Par exemple : les solutions qui limitent l’attente en caisse

Pré-paiement à la commande, paiement via QR code sur table, paiement mobile ou sans contact, click & collect avec règlement en ligne

En analysant les flux, vous adaptez vos outils de paiement à votre affluence. Et vous limitez les tensions au moment le plus sensible du parcours client.

Prendre des décisions plus stratégiques

Anticiper les pics d’activité, ce n’est pas seulement bien gérer l’opérationnel. C’est aussi prendre de meilleures décisions pour l’avenir.

Chaque affluence, chaque coup de feu, chaque moment de tension contient des enseignements précieux. À condition de les analyser.

En croisant vos données de fréquentation, de ventes et de productivité, vous identifiez :

◾️ Les jours et créneaux les plus rentables,

◾️ Les produits phares qui dopent vos marges,

◾️ Les équipes les plus performantes,

◾️ ou encore les points de friction récurrents.

Avec cette vision claire, vous pouvez passer plus facilement à l’action. Vous pouvez repenser vos horaires pour coller à la réalité de la demande, optimiser votre carte en misant sur les plats les plus performants, ajuster vos prix selon les moments de consommation etc…

💡 La data ne remplace pas votre instinct. Mais elle lui donne de la structure, du recul, de la précision.

Et c’est justement en combinant votre expérience à des indicateurs concrets que vous transformez chaque pic d’activité en levier de croissance durable.

 

Anticiper les pics d’activité grâce à la data n’est plus une option, c’est un avantage compétitif. Avec les bons outils, il devient possible d’assurer un service rapide, précis et sans tracas. Vous gagnez ainsi en sérénité, vos équipes en efficacité et vos clients en satisfaction. Automatisez vos prévisions et optimisez votre gestion avec Dvore vous aident à rester performant. Même en période de forte affluence.

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24 Avr
6 Min read

Nouvelle Garde : le concept qui a séduit Emily In Paris

avril 24, 2025 Emilie Deville Interview 0 commentaire

La gastronomie française n’a jamais cessé de briller à l’international. Mais il est rare de voir une brasserie traditionnelle s’inviter sur Netflix. Et pas dans n’importe quelle série : Emily In Paris. La Brasserie des Prés, emblématique du groupe Nouvelle Garde, a fait sensation à l’écran. Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce succès ? Revenons sur les clés de ce concept innovant, qui redonne ses lettres de noblesse à la brasserie française.

La tradition française au coeur de Nouvelle Garde

Le concept : entre authenticité et modernité

Fondé en 2019 par Charles Perez et Victor Dubillot, Nouvelle Garde aspire a dépoussiérer la brasserie française, tout en respectant ses codes.

La Brasserie Bellanger a marqué les débuts d’une aventure gourmande où la cuisine de grand-mère rencontre une touche de modernité.

L’ambition ? Offre une expérience où tout est “bien fait”. Autrement dit, des plats gourmands et responsables, et un service chaleureux loin de l’image du “garçon parisien de mauvaise humeur”.

Au niveau des plats, tous les restaurants ont la même base de carte. Mais chacun a ses spécificité. 🍽

💡 Exemple : 

La Brasserie Martin est plutôt axée sur la rôtisserie, tandis que la Brasserie des Prés propose des plats plus haut de gamme.

La vision du groupe est de proposer à ses clients une cuisine bonne pour eux et pour la terre. Les assiettes sont donc de qualité, avec des produits bien sourcés.

Côté déco, on retrouve une ligne commune, avec une décoration très chargée, “comme chez mémé”. 🧑🏼‍🦳

Mais ne vous y trompez pas : chaque brasserie a son ambiance unique. Pour ce faire, le groupe travaille avec des designers, qui chinent des objets chez Emmaüs par exemple , pour créer des lieux chaleureux.

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Des conditions de travail exemplaires

Nouvelle Garde met ses équipes au coeur de son développement. Parmi les engagements phares :

  • Une semaine de travail de 4 jours.
  • Aucune coupure horaire pour les équipes en salle, sauf pour la direction et les managers.
  • Une valorisation des promotions en interne. Par exemple, avec des serveurs qui deviennent managers ou des collaborateurs de terrain qui évoluent dans les bureaux.
  • Un suivi accru des salariés pour valoriser leur travail et garder les bons profils.

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Quelques chiffres qui impressionnent

L’enseigne ne se contente pas de séduire les papilles ! Ses performances témoignent d’un modèle économique solide et inspirant :

  • 8 établissements en activité à Paris (Brasserie Charlie, Brasserie des Prés, Glacier des Prés, Grouvie, Brasserie Martin, Brasserie Dubillot et Brasserie Bellanger) et à Lille (Brasserie Campion).
  • 2 ouvertures prévues à Lyon et à Marseille.
  • 350 couverts par jour par restaurant en moyenne.
  • Un chiffre d’affaires annuel moyen par établissement entre 4,5 et 5 millions d’euros.
  • 400 collaborateurs engagés.

Les coups de comm’ qui font rayonner le groupe

Nouvelle Garde a su se positionner comme un acteur incontournable de la restauration française ! Non seulement grâce à ses assiettes de qualité, mais aussi grâce à des initiatives de communication importantes. Retour sur les coups de comm’ marquants du groupe 👇🏽

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Emily In Paris : un coup de projecteur mondial

La Brasserie des Prés s’est invitée dans la célèbre série Netflix.

Le groupe a en effet été contacté pour tourner une scène avec en special guest Lily Collins. Un vrai boost de visibilité à l’échelle internationale !

Bien que l’impact soit impossible à quantifier, le CA a bondi de 14% en septembre par rapport à l’année dernière. Est-ce que c’est lié ? Pas sûr, mais ça a été un vrai plus pour le groupe !

Aussi, même si ce n’était pas prévu, la Brasserie Martin a également été aperçue dans la série.

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Le livre Nouvelle Garde

Disponible depuis octobre en librairie et dans les brasseries, cet ouvrage propose 70 recettes pour “boire et manger à la française”. Il incarne l’âme du groupe : authenticité, simplicité et partage.

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Un merchandising original et audacieux

Début septembre, Nouvelle Garde a lancé une collection de t-shirts et casquettes à l’occasion d’un pop-up store au Bon Marché.

Ce dernier regroupait d’autres marques de restaurants également. Un véritable succès qui montre la capacité du groupe à innover !

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Des événements festifs et fédérateurs

Les brasseries du groupe deviennent le théâtre de soirées thématiques. Par exemple :

  • La fête du Beaujolais nouveau à la Brasserie Dubillot
  • La fête de la musique à la Brasserie Bellanger
  • Des cocktails exclusifs, imaginés par des mixologues comme Jennifer Leneché, avec des créations étonnantes

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Une forte présente sur les réseaux sociaux

Avec des contenus dynamiques et authentiques, Nouvelle Garde investit les réseaux sociaux pour raconter l’histoire du groupe et engager une communauté grandissante.

Dvore : un outil de communication interne

Avant l’adoption de Dvore, le groupe utilisait l’outil britannique GoTenzo pour automatiser l’envoi des emails quotidiens, gérés par l’équipe achats.

Mais l’arrivée de Dvore a permis de franchir un cap important :

  • Une double utilisation : l’outil est à la fois utilisé par le siège pour la gestion financière, le contrôle de gestion et les achats. Mais également par les managers dans les établissements.
  • Des données en un clic : en quelques secondes, les équipes accèdent aux chiffres clés. Par exemple, le taux de captage, les ventes de la veille ou les performances hebdomadaires. Une simplification qui fait gagner un temps précieux.
  • Une utilisation poussée des pulses pour bien communiquer entre les différentes équipes.

💭 Entendu par Gauthier Laveix, Chef de projet finance de Nouvelle Garde : quand je suis arrivé chez Nouvelle Garde, on sortait à la main chaque lundi le reporting hebdomadaire du groupe. Ça nous prenait une demi-journée pour un fichier qui présentait 3 chiffres par brasserie. Aujourd’hui, le fichier est créé automatiquement avec des chiffres qui sont beaucoup plus poussés.

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Avec des ambitions claires, Nouvelle Garde prévoit d’étendre son concept dans les grandes villes française, comme Strasbourg, Nantes ou Rennes. Mais également à l’étranger, avec des projets à Londres, Madrid et Bruxelles ! Ce développement à l’international confirme le potentiel universel du modèle : des brasseries françaises dépoussiérées, proposant une cuisine de qualité, accessible et respectueuses des enjeux actuels.

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27 Mar
4 Min read

Comment ouvrir un restaurant gastronomique ?

mars 27, 2025 Emilie Deville Conseil 0 commentaire

Les restaurants gastronomiques occupent une place privilégiée dans la tradition culinaire française. Appréciés et reconnus, ces établissements promeuvent le savoir-faire et la créativité exceptionnels des chefs.

Ouvrir un restaurant “traditionnel” demande certaines compétences en cuisine et en gestion. Cependant, un restaurant gastronomique relève de nombreuses exigences supplémentaires.

Voici quelques points à savoir sur les restaurants gastronomiques 👇

Qu’est-ce qu’un restaurant gastronomique ?

On parle de restaurant classé gastronomique quand il a une cuisine recherchée et raffinée, un large choix de vins de qualité, ainsi qu’un cadre agréable avec une identité spécifique.

En somme, une expérience culinaire marquante est le fil conducteur pour ce type de restaurant.

💡 À noter qu’un restaurant gastronomique n’est pas forcément un restaurant étoilé. Ce dernier est évalué par des professionnels selon un cahier des charges très strict. Le Guide Michelin est l’exemple le plus connu.

Un voyage culinaire exigeant

Le secteur de la restauration est encadrée par une réglementation extrêmement exigeante, notamment en termes d’hygiène et de sécurité alimentaire.

Il est donc conseillé d’avoir des compétences et connaissances en la matière avant de se lancer dans l’aventure.

Certaines réglementations sont communes à tous les types de restaurants :

  • La formation HACCP doit être suivie par au moins une personne de l’établissement. Elle permet de détecter et prévenir les risques liés à la manipulation de denrées alimentaires
  • L’obtention d’un permis d’exploitation délivré par un organisme agréé. Il porte notamment sur la répression de l’ivresse publique, la protection des mineurs, la responsabilité civile et pénale, et la lutte contre le bruit
  • La licence de domiciliation de l’établissement délivrée par la commune
  • Une ou des licence(s) en débit de boissons selon le type d’établissement
  • L’accessibilité pour les personnes en situation de handicap

Quelques conseils pour ouvrir un restaurant gastronomique

Avoir des connaissances du secteur

Un restaurant gastronomique nécessite plus d’exigences qu’un restaurant traditionnel.

Il est conseillé d’avoir d’excellentes connaissances dans la gastronomie et de solides expériences en restauration avant d’ouvrir son propre restaurant.

La construction du projet est clé dans l’ouverture d’un restaurant gastronomique puisqu’il vous permettra de vous démarquer.

⠀⠀⠀

Trouver un concept

Vos choix lors de la définition du concept seront déterminants pour être classé “gastronomique” :

  • Les valeurs que vous souhaitez transmettre
  • Le type de cuisine
  • Les spécificités liées aux ingrédients (produits de saison, du terroir, locaux, bios, issues d’une agriculture responsable, etc.)
  • L’ambiance de votre restaurant
  • L’emplacement (centre-ville, banlieue, etc.)
  • Les activités secondaires proposées (organisation d’événements, présence d’un bar, d’une terrasse, etc.)
  • Les horaires et jours d’ouverture

⠀⠀⠀

Budgétiser son projet

Bien qu’il soit difficile d’estimer un budget pour l’ouverture d’un restaurant gastronomique, il faut garder en tête qu’il vous demandera généralement plus de capital qu’un établissement traditionnel.

Cela est notamment lié à la qualité des matières premières, ainsi qu’à l’emplacement, l’équipement et la décoration du lieu.

⠀⠀⠀

Ouvrir un restaurant gastronomique demande un certain nombre d’exigences réglementaires et de qualité par rapport à un restaurant traditionnel. Afin d’avancer dans votre projet, n’hésitez pas à vous entourer des meilleurs, qui sauront vous aider à promouvoir le savoir-faire et la créativité que vous souhaitez transmettre.

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25 Fév
6 Min read

Basilic & Co : comment créer une pizzeria française basée sur des valeurs de terroir ? 

février 25, 2025 Emilie Deville Interview 0 commentaire

Le marché de la pizza est souvent dominé par les influences italiennes. Mais Basilic & Co a su se démarquer en proposant une alternative authentiquement française. Comment cette enseigne est-elle parvenue à créer un concept unique axé sur les valeurs du terroir français ? C’est ce qu’on vous explique dans cet article 👇🏽

Les origines de Basilic & Co

L’histoire de Basilic & Co commence en 2007, lorsque Laurent Bassi ouvre son premier établissement dans le Vercors.

Son ambition est de proposer des pizzas qui valorisent les saveurs locales, avec des ingrédients de qualité et des prix accessibles. 🍕

En 2014, fort du succès de son premier établissement, il décide de se lancer en franchise pour étendre son concept à travers l’Hexagone. Aujourd’hui, Basilic & Co compte 71 points de vente, dont 5 succursales.

À ce jour, l’enseigne continue de se développer. En 2024, 11 nouveaux restaurants ont été ouvert, 4 existants ont été repris. Et 10 sont prévues pour 2025.

Pour son développement, elle privilégie les petites et moyennes villes pour préserver la proximité avec ses clients et rester fidèle à son identité de pizzeria de terroir.

Un concept unique axé sur les valeurs de terroir

Une approche innovante de la pizza

Contrairement aux pizzerias traditionnelles, Basilic & Co a choisi de s’affranchir des codes de la pizza napolitaine (qu’on retrouve un peu partout).

Les recettes classiques sont revisitées en y incorporant des ingrédients locaux et en proposant des associations de saveurs inédites.

Cette approche se traduit également par une volonté de ne pas suivre les tendances du marché.

L’enseigne propose plutôt une offre unique et différenciante, même si plus complexe à mettre en place.

💡 Exemple :

Elle refuse de proposer des pizzas à l’ananas (on approuve, forcément). 🍍

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La valorisation des produits locaux

Le cœur du concept de Basilic & Co réside dans la valorisation des produits de terroirs.

L’enseigne travaille en étroite collaboration avec des producteurs locaux. Cette démarche permet de :

  • Soutenir l’agriculture locale.
  • Offrir aux clients des produits frais et savoureux.

La carte propose ainsi une variété de pizzas, mettant en avant les spécialités régionales.

💡 Exemple :

On peut y déguster des pizzas garnies de Saint-Marcellin, fromage emblématique de la Drôme, de reblochon de Savoie ou encore de jambon sec IGP d’Ardèche. 😋

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Expérience client et personnalisation

Basilic & Co accorde une grande importance à l’expérience client.

L’enseigne mise sur une ambiance chaleureuse et familiale. La décoration est soignée et met en avant des matériaux naturels et les symboles du terroir français.

Par ailleurs, chaque franchisé peut ajouter sa touche personnelle. Par exemple, en ajoutant des boissons et des desserts locaux. Cette flexibilité permet à chaque restaurant de se différencier.

L’enseigne s’attache également à offrir un service de qualité. Cela passe notamment accueil convivial. Mais également la formation du personnel pour partager l’histoire des produits et des recettes avec les clients !

Le développement et la gestion du réseau avec Dvore

Les défis du développement en franchise

N°1️⃣ Faire face à la conjoncture économique actuelle

Les coûts d’ouverture d’un restaurant étant élevés, l’enseigne propose désormais différents formats pour faciliter l’accès à la franchise.

💡 Exemple :

L’enseigne propose plusieurs modèles : petit ou grand format en fonction de la zone de chalandise mais aussi pour répondre à des candidats ayant plus ou moins d’apport personnel.

N°2️⃣ Trouver le bon profil de franchisé

L’enseigne mise sur certains profils pour assurer la réussite de ses restaurants et maintenir un faible taux de défaillances :

  • Une personne entre 30 et 50 ans.
  • Un apport financier minimum de 50 000 euros.
  • Une première expérience en management ou commerce.

N°3️⃣ Conserver une cohérence de l’offre

Pour Basilic & Co, l’objectif est de maintenir un haut niveau de qualité et de service dans chaque restaurant. Mais aussi de permettre aux franchisés d’exprimer leur individualité et leur spécificité régionale.

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L’arrivée de Fabrice Fruoco et la mise en place de Dvore

Début 2024, Fabrice Fruoco, nouveau Directeur Général de Basilic & Co a souhaité poursuivre le développement de l’entreprise initié avant sa prise de fonction et a continué de moderniser ses outils de gestion des données.

Auparavant, la collecte et l’analyse des données étaient réalisées manuellement. Fastidieux et chronophage, le besoin de disposer d’un outil performant est devenu plus qu’important. Dvore s’est alors imposé comme le premier choix.

L’application Dvore offre à l’enseigne plusieurs avantages majeurs :

  • Une intégration facilitée malgré la diversité des systèmes utilisées par les restaurants (3 éditeurs de systèmes de caisse et 2 éditeurs de planning, rien que ça !).
  • Une accessibilité immédiate aux données en temps réel pour l’ensemble des équipes
  • Une simplicité d’utilisation
  • Un accompagnement personnalisé, avec un support réactif et une compréhension fine des enjeux.
  • Un réel gain de temps en évitant les exports manuels.

💭 Entendu par Fabrice Fruoco, Directeur Général de Basilc & Co : Dvore c’est un véritable “tableau de bord pour les nuls”. L’application est accessible à tous. Chacun peut donc s’approprier facilement la plateforme.

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Un outil au service de la réussite des franchisés

Dvore est surtout un outil d’accompagnement précieux pour les franchisés.

Lorsque l’un d’entre eux se pose des questions sur les produits à mettre en avant, les statistiques fournies lui permettent de prendre des décisions éclairées.

Par ailleurs, l’animation réseau prépare des reviews hebdomadaires envoyées aux franchisés chaque mardi. Cela leur permet d’avoir leurs chiffres toutes les semaines.

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Basilic & Co a réussi le pari de réinventer la pizza en France, en s’appuyant sur des valeurs de terroir et en proposant une expérience client unique. Spoiler : de nouveaux projets sont dans la marmite ! On a hâte de voir la suite de leur aventure 😍

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